Ce matin, le vent est tombé, on en profite pour petit déjeuner dehors !
Voici notre trajet du jour :
1. Le monument paysan El Campesino
Nous passons à côté d’un monument imposant édifié à la gloire de l’agriculture. Il se trouve au centre géographique de l’île.
A ses pieds, on peut voir des exemples de procédé agricole : des demi cercle en pierre érigés pour protéger les cultures et notamment les pieds de vignes du vent ?
2. La montaña negra
Nous nous dirigeons maintenant vers le parc national de Timanfaya : parc qui regroupe plusieurs cônes volcaniques.
Papa a repéré une balade à faire sur le volcan nommé la montaña negra.
Tentant… mais le dénivelé important sur un chemin mouvant ( le sol est recouvert de gravillons de roches volcaniques) ne séduit pas trop maman qui préfère faire le tour. Je décide de l’accompagner.
Au cœur de ces anciennes roches volcaniques, la végétation reprend progressivement sa place.
Nous poursuivons notre chemin jusqu’au palmier au loin.
Mine de rien, le soleil tape fort. J’attrape mon foulard et improvise un couvre chef. Et hop ! Je passe en mode aventurière 🙂
Et voilà le palmier. Un espace abrité du vent grâce à des murets ont permis son développement.
Près du palmier, un petit lézard couleur rouille, le voyez-vous ?
Nous faisons demi tour pour rejoindre mon père et mon frère qui descendus du volcan, viennent à notre rencontre.
3. La Santa
Nous rejoignons le petit village de pêcheurs de La Santa.
Les vagues y sont vraiment impressionnantes !
Il est temps de manger. Un restaurant propose des pescados (poissons). Nous prenons les « Parrillada Mixta de Pescado del dia » (Une grillade mixte des poissons du jour). Le plateau pour 4 est énorme ! Les poissons sont délicieux !
Beaucoup de plats sont accompagnés de petites pommes de terre ronde, cuites dans le sel, que l’on mange avec 3 sauces (blanche, rouge ou verte).
Nous allons ensuite nous balader le long de la mer pour admirer les énormes vagues.
Oh ! Mais qui y a-t-il dans les trous d’eau de mer ?
… des poissons qui n’ont pas envie d’être dérangés.
Allez encore quelques vagues et il faut rentrer.
A demain !
